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Comité Régional des Pays de la Loire de Tir à l'Arc

APPEL À CANDIDATURE COMMISSION DISCIPLINAIRE DE PREMIÈRE INSTANCE (mar., 23 avril 2024)
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Assemblée Générale de la FFTA du 24 Mars 2024 (Mon, 25 Mar 2024)
Ce qu’il faut retenir de l’Assemblée Générale de la FFTA du 24 mars 2024
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Offre de compétitions TAEi jeunes licenciés (Fri, 15 Mar 2024)
  Le Comité Régional vous propose 4 compétitions pour les jeunes licenciés régionaux en TAEi. Vous trouverez ci-dessous les dates et les liens d'inscription, ainsi que les mandats. Ces compétitions se dérouleront au CREPS à La Chapelle sur Erdre.   Dates Liens Yapla Mandats Mercredi 27 mars 2024 https://comite-regional-des-pays-de-la-loire-de-tir-a-l-arc.s2.yapla.com/fr/event-54824  Téléchargez ici Mercredi 15 mai 2024 https://comite-regional-des-pays-de-la-loire-de-tir-a-l-arc.s2.yapla.com/fr/event-54825  Téléchargez ici Mercredi 05 juin 2024 https://comite-regional-des-pays-de-la-loire-de-tir-a-l-arc.s2.yapla.com/fr/event-54826  Téléchargez ici Mercredi 26 juin 2024 https://comite-regional-des-pays-de-la-loire-de-tir-a-l-arc.s2.yapla.com/fr/event-54827  Téléchargez ici
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Le Tir à L'arc

Petite histoire du tir à l'arc

Depuis toujours l'homme a été préoccupé par l'idée de lancer des objets pour

se défendre et attaquer, ou tout simplement pour s'amuser.Le passage du lancer à la main au lancer à l'aide d'une arme se fit lentement et grâce aux dons d'observation de l'être humain.L'origine du Tir à l'Arc se perd dans la nuit des temps et il y a peu de peuplades au monde qui n'aient découvert d'elles même l'art de tirer à l'Arc. L'arc semble avoir été inventé vers la fin du Paléolithique ou le début du Mésolithique.Certaines peintures rupestres d'Espagne orientale attestent de son existence il y a 10 000 ans. Les plus anciens arcs connus proviennent du marais de Holmegård au Danemark.Dans les années 1940, deux arcs y ont été trouvés. Ils sont réalisés en orme, ont des branches plates et une section médiane en forme de D. La section centrale est bi-convexe.L'arc complet mesure 1,50 m de long.Les arcs du type "Holmegaard" ont été utilisés jusqu'à l'âge de bronze ; la convexité de la section médiane a décru avec le temps. L'une des premières compétitions se déroula, en Angleterre, en 1583 avec plus de 3 000 participants La petite taille de certaines pointes de flèche découvertes à Gravette, pourrait faire penser que l’arc existe depuis au moins 20 000 ans, mais ces flèches ont pu être lancées par des atlatls (propulseurs) plutôt que des arcs. Les pointes les plus anciennes proviennent de Tunisie et datent de 50 000 ans.La plus ancienne flèche trouvée en Europe date de -10800 (fin du Paléolithique) et provient de Stellmoor dans la vallée d’Ahrensburg, au nord de Hambourg en Allemagne. Les flèches étaient faites de pin et étaient composées d'un tube principal et d'un long tube avant de 15-20 centimètres (6-8 pouces) avec une pointe en quartz.Des flèches équipées de pointes datant du Mésolithique ont été trouvées en Angleterre, en Allemagne, au Danemark et en Suède. Elles étaient souvent plutôt longues (jusqu'à 1,20m) et fabriquées en noisetier (Corylus avellana), viorne lantane (Viburnum lantana). Quelques unes étaient équipées de pointes, d'autres étaient équipées d'une extrémité contondante pour la chasse des oiseaux et du petit gibier. L'autre extrémité montrait des traces d'empennage qui était fixé avec de la colle de bouleau. Par la suite, l'arc a remplacé l'atlatl comme moyen principal pour lancer des projectiles, sur tous les continents à l'exception de l'Australie. Mythologies Grecque et RomaineApollon est le dieu des archers, ainsi que de la peste et du soleil, considéré métaphoriquement comme tirant des flèches invisibles.Artémis (Diane), déesse des zones sauvages et de la chasse, et Éros (Cupidon), dieu de l'amour, sont souvent représentés avec un arc.Les premières représentations du héros Héraclès (Hercule) le dépeignent comme un archer, ainsi qu'Ulysse. Autres mythes et légendesLes archers sont des divinités ou des héros dans plusieurs autres mythologies, tel qu'Egil ou Agilaz, un frère du dieu forgeron Völund dans la mythologie nordique, ainsi que dans des légendes tels Guillaume Tell, le héros danois Palnatoki ou Robin des Bois.L'arménien Haïk, Le Babylonien Marduk, Arjuna l'Indien, et Arash le Persan ont tous été archers. Yi, l'archer apparait dans plusieurs mythes primitifs Chinois, et le personnage historique Zhou Tong maître archer sous la Dynastie Song apparaît sous nombreuses formes de fiction.Des personnages légendaires, comme Drona, sont représentés comme des maîtres en archerie.Des personnages mythologiques tels qu’Eklavya, Karna, Rama, Lakshmana, Bharat et Shatrughan sont également associés à l'arc. Les civilisations classiques, notamment les Perses, les Parthes, les Indiens, les Coréens, les Chinois et les Japonais comptaient un grand nombre d'archers dans leurs armées. Les flèches étaient très efficaces contre les formations groupées, et l'utilisation d'archers a souvent été décisive. Le terme sanskrit pour le tir à l'arc, dhanurveda, a fini par se référer aux arts martiaux en général. Les arcs et les flèches ont été présents dans la culture égyptienne depuis ses origines pré dynastiques. Le tir à l'arc était pratiqué tant pour la chasse que pour la guerre. Les Neuf arcs symbolisent les ennemis traditionnels de l'Égypte. Des bas reliefs des tombes de Thèbes décrivent des "leçons de tir à l'arc". Quelques divinités Egyptiennes sont liées à l'archerie. Les Assyriens et les Babyloniens ont fait une utilisation intensive de l'arc. L'Ancien Testament fait plusieurs fois références au talent d'archers des anciens Hébreux.

Sub continent Indien

 

L'arc était une arme typique des Indiens, depuis la période Védique, jusqu'à l'avènement de l'Islam. Les Aryens utilisaient l'arc, souvent depuis des chars de guerre. Des hymnes Rigvediques glorifiaient son utilisation.D'anciens récits Indiens détaillent des méthodologies d'entrainements de tir à l'arc, montrant que l'archerie était un art martial majeur

Asie du Nord

 

L'utilisation Chinoise de l'archerie remonte à la dynastie Shang. Les catégories d'officiers dans l'armée Shang incluaient les ya et shi (commandants), ma (officier de char), et she (officier archer).Les Chinois utilisaient les chars de guerre avec des archers. La dynastie Zhou qui succéda vit des tournois d'archerie organisés en présence de la noblesse. L'arc était l'arme noble, au même titre que l'épée en Europe.Tous les cinq ans le gouverneur était sélectionné à l'issue d'un concours entre autres de tir à l'arc en musique. Cette épreuve consistait en une série de tirs à effectuer quand l'archer entendit un gong dans la mélodie. Les coups au but ne comptaient que si la flèche l'atteignait la cible au moment précis où l'on entendait le gong. Celui qui visait juste et au rythme du gong était apte à gouverner. Le sinogramme   (zhong) symbolise d'ailleurs une flèche traversant le milieu d'une cible.A la fin de la période Zhou, des ouvrages sur l'archerie ont été enregistrés sur du bois ou du bambou.Les Coréens étaient des archers renommés. Les archers montés étaient la principale force d'opposition aux barbares Cimmériens

Amérique du Nord

 

L'archerie était profondément répandue parmi les peuples Amérindiens, dès l'époque précolombienne. Les hommes des tribus des Grandes Plaines étaient adeptes de la pratique du tir à l'arc à dos de cheval. Toutefois ces animaux ne furent présents sur le continent américain qu'à partir de la colonisation européenne.

Europe occidentale

 

 Les premiers Romains avaient très peu d'archers, s'ils en avaient. Au fur et à mesure que leur empire croissait, ils ont recruté des archers dans les autres nations. Les armées de Jules César en Gaule incluaient des archers Crétois, et Vercingétorix avait ordonné que "tous les archers, qui sont très nombreux en Gaule, doivent être rassemblés". Au cours du IVe siècle, des archers avec de puissants arcs composites faisaient partie de l'armée régulière Romaine à travers tout l'empire. Après la chute de l'empire occidental, les Romains se sont trouvés sous la pression des archers à cheval des Huns, et les armées Romaines d'orient ont compté énormément sur leur archerie montée.D'après César, les Germains et les Gaulois n'utilisaient pas l'arc à la guerre. Il en était de même pour les Francs lors de l'invasion de la Gaule. L'arc n'était pas inconnu de ces peuples, car ils l'utilisaient à la chasse, mais dans leurs critères, la valeur d'un homme se mesurait lors d'un combat au corps à corps. Ce n'est qu'un peu avant Clovis (465) que l'arc a été adopté par les Francs à la guerre, bien que son utilisation n'ait pas été généralisée avant la fin du VIIIe siècle, mais contrairement à ce que disent certains mythes populaires, les archers n'étaient pas aussi prédominants à la guerre. Les archers étaient souvent les soldats les moins payés d'une armée, ou étaient recrutés parmi les paysans. Ceci était dû à la nature bon marché de l'arc, comparée aux dépenses effectuées pour équiper un homme d'arme professionnel avec une bonne armure et une bonne épée.Les archers professionnels passaient une vie entière à s'entrainer, et utilisaient des arcs couteux pour être efficaces, et ainsi étaient relativement rares en Europe.L'arc était rarement utilisé pour décider de l'issue d'une bataille, et était souvent vu comme une arme de classe inférieure ou comme un jouet par la noblesse.Cependant, parmi les Vikings, même les rois tels que Magnus Berføtt utilisaient l'arc, ainsi que les Arabes, y compris lors de leurs nombreux raids sur les côtes Européennes lors des IXe et Xe siècles. Charlemagne exigeait de ses soldats qu'ils soient équipés, en plus de leurs armes habituelles, « d'un arc avec deux cordes et douze flèches ». À sa mort en 814, ces ordonnances qui régissent l'équipement tombent en désuétude, mais les invasions des Normands qui excellent au tir à l'arc redonnent vie à cette arme. Ce sont aussi les Normands qui vulgarisent l'usage de l'arc en Angleterre. L'arbalète est devenue assez populaire pendant le Moyen Âge. Cependant, sa capacité à percer les armures effrayait la noblesse, et l'arbalète a été interdite en 1139 par le IIe concile de Latran, son emploi n'étant autorisé que pour combattre les infidèles. Lors de la Guerre de Cent Ans, les Anglais ont appris à utiliser l'archerie comme élément de domination tactique avec leurs arcs droits. Des tournois, avec des récompenses pour les vainqueurs, étaient organisés pour encourager les archers. Il y avait ainsi énormément de motivation pour devenir un archer expérimenté, et les rois Anglais pouvaient ainsi recruter des milliers d'archers chaque année. En 1346, à la bataille de Crécy, et en 1356, à la bataille de Poitiers, les archers anglais défont les armées françaises. Ce ne fut qu'à la fin de la guerre de Cent Ans qu'on songea en France à revenir à la pratique de l'arc. Charles V réorganisa et encouragea les compagnies et s'efforça de renouveler leurs privilèges. Malheureusement, à sa mort en 1380, l'aristocratie persuada Charles VI de limiter la puissance des compagnies en limitant le nombre d'archers dans chaque ville. En 1415, à Azincourt, les archers anglais montrèrent encore une fois leur supériorité en décimant la chevalerie française. Les Picards et les Bourguignons, alors alliés des Anglais, se perfectionnent en tir à l'arc.

En 1448, Charles VII crée les Compagnies de Francs Archers
En 1448, Charles VII crée les Compagnies de Francs Archers

Charles VII, fort de l'expérience de ses prédécesseurs, réforme les organisations militaires. Le 2 novembre 1439, il crée les compagnies d'ordonnance, corps de cavalerie permanente. Chaque compagnie est composée de cent gentilshommes, dont chacun est suivi par deux valets et trois archers montés. Le 28 avril 1448, il crée les Compagnies de Francs-archers. Exemptées d'impôts et entretenues par les villes, elles ont un rôle de défense des cités. En temps de paix, les confréries s'invitaient en grandes fêtes Régionales appelées "Bouquets". Ces fêtes survivent encore de nos jours en "pays d'Arc" (Nord de la France et Ile de France). Vers 1500, l'arrivée de l'arquebuse ne détrône pas tout de suite l'arc, et bien que les Francs-archers soient supprimés à la fin du règne de Louis XI, ils sont rétablis sous Charles VIII et subsistent sous Louis XII. Cependant, les armes à feu s'améliorent, et les Francs-archers sont définitivement supprimés sous François Ier. La Révolution française dissout les compagnies d'arc par décret de l'assemblée nationale en 1789. Dès lors, la grande majorité des archers sont incorporés à la garde nationale. La Chevalerie d'arc reforme des compagnies mais sans statuts militaires. Dès 1797 la compagnie de Fontainebleau reprend corps. À partir de cette date, le tir à l'arc devient un jeu. Dans les autres parties de l'Europe occidentale, son emploi à la guerre disparait également de façon définitive. Par contre, certains corps de cavalerie d'origine asiatique continuent à l'utiliser, et lors de la campagne de Russie en 1815, les troupes françaises rencontrent des éclaireurs Tartares équipés d'arcs. Même en Angleterre, malgré les différentes ordonnances royales promulguées pour maintenir son utilisation, l'arc finit par être détrôné par le mousquet.L'invention des armes à feu finalement rend obsolètes les arcs de guerre. A l'origine, les armes à feu sont très inférieures en cadence de tir, et sont très sensibles à l'humidité. Toutefois, elles ont plus de portée et sont tactiquement supérieures dans les situations de tirs où les soldats sont abrités derrières des protections. Elles nécessitent également moins de formation pour être utilisées correctement, et il n'y a pas besoin de développer une musculature spécifique pour pénétrer une armure d'acier. Les armées équipées d'armes à feu peuvent ainsi fournir une puissance de feu supérieure, et les archers hautement qualifiés deviennent obsolètes sur le champ de bataille. La dernière référence à l'utilisation de l'arc dans une bataille anglaise semble être lors d'une escarmouche à Bridgnorth, en octobre 1642, pendant la Guerre civile anglaise. L'archerie est restée en vogue dans certaines régions sujettes à une limitation sur la possession d'armes, telles que l'Ecosse pendant la répression qui a suivi le déclin du Jacobitisme, ainsi que les Cherokees après la Piste des Larmes (déplacement de plusieurs peuples amérindiens par les États-Unis entre 1831 et 1838). Le Shogunat Tokugawa (dynastie de shoguns qui dirigèrent le Japon de 1603 à 1867) a sévèrement limité l'import et la manufacture d'armes à feu, et a encouragé les talents martiaux traditionnels des samouraïs. Puis peu à peu les décrets perdirent de leur vigueur, et très pacifiquement les coutumes réapparurent, conjuguées à l'esprit sportif s'affermissant sur la fin du vingtième siècle.    Olaus Magnus, scène de chasse à l'arc, 1555    Le roi Henri VIII d'Angleterre pendant une compétition de tir à l'arc vers 1520

Sources : Tir à l'arc IDF, Wikipedia

Le tir à l'arc apparait maintenant comme un sport nouveau, facteur d'équilibre et de maîtrise de son corps.

LE BIENFAITS DU TIR

 

Le Tir à l'arc est un sport qui fait appel à des qualités physiques et mentales. C'est un sport d'adresse, ludique et non violent. Il se pratique en plein air le plus souvent dans un cadre de verdure où le calme est de rigueur ou bien en salle pendant la saison hivernale.

  

Bon pour la tête 

Sport de rigueur, de précision, de concentration, de régularité, le tir à l'arc développe et exige équilibre, volonté, maîtrise de soi, résistance au stress.

L'exigence en matière de concentration est telle que le tir à l'arc permet de faire le vide. 

Bon pour le corps 

 

Pour pratiquer le tir à l'arc sportif une bonne condition physique générale est indispensable.

La pratique du tir à l'arc développe surtout le haut du corps, le tireur lorsqu'il met l'arc en tension doit faire appel aux muscles des deux parties du corps, qu'il soit droitier ou gaucher. Ceci n'est possible que si la puissance de l'arc, et le matériel de tir en général sont bien adaptés aux capacités physiques et à la morphologie de l'archer, ainsi qu'à sa pratique. Les muscles les plus sollicités sont ceux du dos, des épaules, de la ceinture abdominale et des bras. Les tendons des doigts, des bras et des épaules sont également mis à l'épreuve.

Pour les jeunes 

Le tir à l'arc est une discipline ludique, l'image de Robin des Bois est toujours présente dans la tête des enfants. Pour les enfants ayant des problèmes de maintien et d'équilibre, le tir à l'arc peut être un bon sport, en restant toujours très vigilant sur le choix de la puissance de l'arc.

 

Les consignes

 

Respect 

Le matériel, les pas de tir   ainsi que les locaux qui nous accueillent sont précieux, respectons les.

Le silence est d’or !

Respectons nous et respectons les autres.

Vivons tous ensemble !

La pratique du tir à l’arc est accessible à tous.

Adoptons nos pratiques.

Soyons solidaires, coopératifs et tolérants.

Fair play

Citoyenneté (vie publique)

  

Jeunes Archers, investissez vous !

La vie associative appartient aux jeunes. Informez-vous sur la vie de votre club et participez aux commissions jeunes, si elles existent. N’hésitez pas à proposer et partager vos idées et vos initiatives.

  

  

Santé

  

La santé, c’est sacré !

Cherchons à avoir une bonne hygiène de vie. Bien s’hydrater et se nourrir avant et pendant l’effort, c'est important. N’utilisons pas de substances ou produits nuisibles pour la santé (produits dopants, drogues, tabac, alcool, etc).

  Quelques conseils de diététique

A.U.T. ou Autorisation à Usage Thérapeutique :

  

La prise de médicaments est réglementée quels que soient votre niveau de pratique et votre discipline sportive. Les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques permettent aux sportifs malades ou blessés d'utiliser sous certaines conditions des produits ou substancesinterdits. Si vous êtes concerné, suivez la procédure d'A.U.T .

 

A quoi servent les A.U.T.?
Les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques permettent aux sportifs malades ou blessés d'utiliser sous certaines conditions des produits ou substances interdits.

Qui est concerné ?
Tout sportif licencié dans une Fédération Sportive qui se prépare à participer à une compétition sportive.

Pour quel motif ?
Pour l'usage à des fins de traitement d'une substance interdite qui figure sur la liste des substances et méthodes interdites de l'A.M.A.

Qui peut le remplir ?
Tout médecin désigné par le sportif comme étant son médecin habituel ou son médecin traitant.
Ce médecin devra décliner ses nom, prénom, qualification et spécialité médicale.

 

Quand le remplir ?
Dès que possible, si le sportif utilise à des fins thérapeutiques un médicament ou procédé interdit, et dans tous les cas, avant de participer à une compétition.

Attention : toute demande envoyée après le déroulement d'une compétition sera invalidée et exposera le sportif contrôlé positif à des sanctions prévues par la loi. (lutte anti dopage)

Comment se procurer les A.U.T. ?
Les différents organismes internationaux et nationaux peuvent fournir les formulaires.
Le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, l'A.F.L.D., les Fédérations, les Ligues, et les Directions Régionales et Départementales de la Jeunesse et des Sports peuvent fournir ces différents formulaires :

  La FFTA vous informe sur le dopage

 

 

Conseils sécurité

 

RISQUES INDIVIDUELS – CONSIGNES

 

- Tout archer devra porter un protège bras, cet accessoire évitera des ecchymoses.

- Toute position devra assurer le libre passage de la corde. Port de vêtements ajustés ou plastron conseillé.

- Ne pas utiliser de flèches trop courtes qui peuvent tomber du repose flèche, celles ci peuvent occasionner de graves blessures à la main.

- Ne pas utiliser d’arc, ni de corde, ni de flèches endommagés.

- En allonge ne jamais lâcher une corde sans flèche, risque de rupture de matériel.

- Ne jamais passer devant une ligne d’archer qui sont sur le pas de tir.

- Attendre la fin de la volée pour ramasser une flèche tombée en avant du pas de tir si elle n’est pas accessible sans se déplacer.

- Il est interdit de courir pour aller chercher ses flèches en cible, ainsi que de courir avec des flèches.

- Veiller prendre garde aux flèches notamment carbone qui pourrait être endommagées (risques de blessures par éclats).

- Aborder les cibles par le côté.

 

 RISQUES COLLECTIFS – CONSIGNES

 

- Les archers doivent toujours être situés sur une seule ligne de tir et ne jamais dépasser cette ligne tant que le signal pour aller chercher les flèches n’aura pas été donné par le dernier archer qui aura tiré.

- Il est interdit d’encocher une flèche ou d’armer un arc avant que tous les archers soient de retour sur le pas de tir.

- Ne jamais pointer un arc avec ou sans flèche en direction d’une personne.

- Ne pas bander un arc, avec ou sans flèche encochée, en dehors du pas de tir.

- Veiller à ce qu’un archer ne tire jamais avec une corde ou des flèches endommagées.

- Ne jamais tirer horizontalement avec un arc: l’envergure des branches pouvant gêner un autre archer.

- Ne jamais lâcher une flèche verticalement: il est impossible de prévoir à quel endroit elle retombera.

- Ne jamais toucher ou gêner un archer en position de tir, celui ci surpris pourrait avoir une réaction imprévisible.

- Ne pas se tenir juste derrière l’archer arrachant ses flèches de la cible: risque de blessure aux yeux.

- Lorsque qu’un archer a terminé sa volée, il doit se tenir avec son matériel, au moins à 3 mètres en retrait du pas de tir et ne pas nuire à la concentration des autres archers.

- Ne pas se baisser pour ramasser des flèches qui sont à terre sous la cible où il y a encore des flèches, attendre que les flèches qui sont en cibles soient retirées.

- Les feuilles de scores seront placées au moins 3 mètres en avant des cibles.

- Ne pas suivre les parcours à l’envers (tir campagne, nature et 3D) et laisser les arcs posés sur la cible ou en avant de la cible en cas de recherche de flèches sur l’arrière.